Il faut une bonne dose de courage ou d’insouciance pour lancer aujourd’hui sa société de gestion. Voilà un secteur parvenu il y a plusieurs années déjà au faîte de sa rentabilité, et promis à dévaler la pente sous la pression de taux bas et de réglementations toujours plus coûteuses. L’alpha, ce Graal qui mesure la valeur ajoutée du gérant pour l’investisseur en termes de performance par rapport à l’indice de référence, déserte certaines classes d’actifs cotés (lire notre Dossier page 20)